Cancer prostate type 3
Bonjour,
J’ai 72 ans, bon état général. En octobre 2020 suite à une prise de sang de routine avec dosage PSA, on note une valeur de 150 augmentée la semaine suivante 170.
Je suis asymptomatique. Pas d’antécédents familiaux.
Ensuite parcours classique : urologue, IRM prostate, scanner rein car on a décelé une tache sur l’IRM , TEP-Scan chlorine, biopsie.
Annonce des résultats par l’urologue le 04 décembre après consultation pluridisciplinaire : Cancer de type 3 dépassant les limites de la capsule et qui envahit une glande séminale.
Traitement : à partir du 04 décembre casodex 50 1/j et à partir du 11 décembre Decapeptyl 11,25, une injection sous-cutanée tous les 3 mois pendant 6 mois.
L’urologue me demande une IRM rein que je ferai en février !
Je me demande pourquoi ? On n’a rien décelé au TEP Scan. Je n’ai pas la présence d’esprit de lui poser la question !
Consultation oncologue 08 décembre : on me propose un traitement de seconde ligne à savoir une chimiothérapie. Je refuse d’une part car je veux d’abord attendre les résultats du traitement de première ligne et d’autre part car je pense qu’il y a des traitements moins agressifs à mettre en œuvre avant la chimiothérapie.
J’ajoute que je privilégie la qualité de la vie plutôt que la durée.
Le 18 janvier prise de sang : testostérone 0,1ng/ml – PSA total : 5.26
Fin janvier je consulte un autre oncologue pour un autre avis.
Pour finir j’ajoute que j’ai lu le livre « Dans la tourmente de LA Prostate ». Ce livre m’a beaucoup aidé dans ma réflexion et dans mon interaction avec le corps médical.
Bien amicalement
JMS
par JMS22 février 2021