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Baisse du taux de psa

Robert le 23 Août 2006

Bonjour
Je suis adhérent à l’association et j’ai une question/témoignage qui pourraient être utiles:
j’ai été opéré d’une ablation de la prostate en aout 2005
Les tests PSA qui ont démarré après l’opération ont commencé à montrer une remontée de taux à la troisième prise (0,15) confirmé par la quatrième (0,20). Je consomme du jus de grenade en quantité depuis quatre mois et les deux prises de PSA ont montré une descente (0,17) puis aujourrd’hui même (0,15).
Plutôt bon signe. Enfin il me semble.
La question est: je fais quoi maintenant? Je subis le traitement adjuvant radio qui était prévu? Je surseois et je continue à prndre du jus de grenade?
Au fait j’ai 56 ans bientôt.
Cordialement

Robert

25/08/2006 – Robert – Suite

Bonjour,

Je reprends mon témoignage d’hier car les résultats m’interpellent: la culture française de la chirurgie sans doute!
Après avoir été opéré à Bordeaux (Saint Augustin/robotique) fin Août 2005, les PSA ont recommencé à monter de manière « mesurable » 4 mois plus tard: 0,17. Inquiétude, appel au chirurgien, second test un peu plus tard qui confirme le premier avec une remontée des taux à 0,20. Le chirurgien m’oriente vers une radio thérapie qui me semble inévitable.
Jusqu’à ce que je tombe sur le test clinique (phase II conduit aux USA). Il s’agit de boire du jus de grenade tous les jours pour garder sous contrôle -personne ne dit éliminer – le cancer en récidive. Bien sûr ce test est conduit sur un nombre de patients très limité (quelques dizaines) mais les résultats m’encouragent à ne pas attendre: jus de grenade et jus de tomate feront donc partie du menu quotidien. Résultats 2 baisses successives de taux de PSA à 0,17 puis 0,15 en 4 mois.
Mon chirurgen m’a conseillé de surseoir aux rayons et de continuer une surveillance active tous les trimestres. Ce que je vais m’empresser de faire.
La lecture de toute la documentation qu’on peut trouver en abondance sur Internet est édifiante: on est ce que l’on mange! Et s’il ne faut pas faire n’importe quoi dans ce domaine on ne doit pas ignorer des faits étonnants. Par exemple le cancer de la prostate n’est pas répandu en Inde. De nombreuses recherches commençent à se demander (et à comprendre) pourquoi.
Le test clinique (phase III) continue aux USA avec un nombre de patients bien plus important: j’espère que ma détermination à boire du jus de grenade me permettra d’en attendre sereinement les conclusions. Je vous tiendrai au courant si toutefois vous pensez que cette expérience peut être intéréssante: elle n’est clairement pas à son terme.
Cordialement

Robert

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